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Les premières membranes artificielles furent commercialisées au début des années 30. Elles furent utilisées en particulier lors de la seconde guerre mondiale pour le contrôle bactériologique des eaux dans les villes sujettes aux attaques aériennes. Les travaux ont repris en particulier après les années 30 sous la pression d'une demande concernant le dessalement. Il faut attendre les années 60 pour voir un développement industriel suite au résultat du programme américain sur le dessalement des eaux saumâtres.
La première génération de membranes est un composant dérivé de la cellulose*. Bien que ces membranes aient été une grande avancée dans le monde scientifique, elles ont été la cause principale d'échecs en raison de limites incompatibles avec les exigences des industries: Faible résistance à la température, au PH, aux attaques bactériennes. Dans les années 80, de nouvelles membranes faites de polymères* non cellulosiques ont été introduites. Leur résistance chimique a été améliorée comme leur capacité à retenir les petites molécules, la qualité de filtration est améliorée, la perméabilité peut être utilisée pour la consommation humaine. Les molécules, comme les antibiotiques, arômes, parfums sont retenus, ce qui est très important pour l'industrie pharmaceutique et pour l'industrie agro-alimentaire.
Le coeur du système de filtration par osmose inverse est une cartouche maintenant une membrane ou film en polymère. Cette membrane est une sorte de peau, présentant des pores d'un diamètre de 10 puissance 4 microns (0,000l), capable d'éliminer les molécules les plus fines ainsi que les bactéries et même les virus qui, mesurent 0,2 microns. L'eau pénètre dans la cartouche et seules les molécules d'eau traversent cette membrane, les autres molécules sont rejetées en permanence avec une partie de l'eau non filtrée. L'atout majeur des osmoseurs demeure évidemment l'élimination de la quasi totalité des nitrates et des molécules, métaux, nitrates, engrais, herbicides, pesticides, dioxines, poussières radioactives.
Les premières membranes artificielles furent commercialisées au début des années 30. Elles furent utilisées en particulier lors de la seconde guerre mondiale pour le contrôle bactériologique des eaux dans les villes sujettes aux attaques aériennes. Les travaux ont repris en particulier après les années 30 sous la pression d'une demande concernant le dessalement. Il faut attendre les années 60 pour voir un développement industriel suite au résultat du programme américain sur le dessalement des eaux saumâtres.
La première génération de membranes est un composant dérivé de la cellulose*. Bien que ces membranes aient été une grande avancée dans le monde scientifique, elles ont été la cause principale d'échecs en raison de limites incompatibles avec les exigences des industries: Faible résistance à la température, au PH, aux attaques bactériennes. Dans les années 80, de nouvelles membranes faites de polymères* non cellulosiques ont été introduites. Leur résistance chimique a été améliorée comme leur capacité à retenir les petites molécules, la qualité de filtration est améliorée, la perméabilité peut être utilisée pour la consommation humaine. Les molécules, comme les antibiotiques, arômes, parfums sont retenus, ce qui est très important pour l'industrie pharmaceutique et pour l'industrie agro-alimentaire.
Le coeur du système de filtration par osmose inverse est une cartouche maintenant une membrane ou film en polymère. Cette membrane est une sorte de peau, présentant des pores d'un diamètre de 10 puissance 4 microns (0,000l), capable d'éliminer les molécules les plus fines ainsi que les bactéries et même les virus qui, mesurent 0,2 microns. L'eau pénètre dans la cartouche et seules les molécules d'eau traversent cette membrane, les autres molécules sont rejetées en permanence avec une partie de l'eau non filtrée. L'atout majeur des osmoseurs demeure évidemment l'élimination de la quasi totalité des nitrates et des molécules, métaux, nitrates, engrais, herbicides, pesticides, dioxines, poussières radioactives.